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Le Canterbury

Meydley Canterburry - Le Magnéto
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Extraits sonores :

Christchurch : Baptême des animaux / Christchurch : le Tramway / Christchurch : Oktoberfest 

Akaroa : les oiseaux et Pago, le pianiste tchèque ambulant 

On the road :

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Rendez-vous avec les baleines à Kaikoura

Christchurch, l'interrogation après le seisme de 2011

Akaroa, petit paradis isolé

Le fabuleux décor d'Aoraki / Mont Cook

Un saut dans le temps à Oamaru

Le Canterbury est la plus grande région de Nouvelle-Zélande et couvre quasiment tout l'est de l'île du Sud. Ce fut la porte d'entrée de notre road trip sur l'île, et quel ne fut pas notre émerveillement face à une si belle côte, bordée de plages de galets, de rochers sur lesquels paraissent des phoques, les montagnes en arrière-plan !

Géraldine

Le printemps se fait sentir ! Sur la route d'Aoraki, à Géraldine

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Kaikoura

Rendez-vous avec les baleines à Kaikoura

 

Les fonds marins de Kaikoura relèvent une spécificité : une faille !
Le plateau continental plonge rapidement dans les abysses océaniques très proches de la côte .

C’est pour cela que de nombreuses baleines s’arrêtent en ce lieu lors des grandes migrations : les courants qui remontent des grands fonds portent avec eux la nourriture dont se nourrissent les baleines : plancton et autres petits poissons.

Nous sommes donc allés voir des baleines sur un speedboat qui les « chasse » pour le plaisir des touristes. Nous avons vu 2 baleines, quelques minutes à la surface, le temps pour elles de refaire leur réserve d’oxygène : elles expulsent l’eau par leur évent, remplissent leurs poumons, puis plongent à nouveau en faisant passer leur queue au dessus de l’eau. C’est très beau mais on ne voit finalement pas grand chose.

Et on comprend mieux quand on regarde les chiffres, c’est à dire les comparatifs du nombre de baleines dans le monde entre il y a 200 ans et aujourd’hui. Quelque soit l’espèce, ils sont divisés par 10, 20, 50, 100, et plus encore pour certaines qui frôle l’extinction.

On se met donc à rêver du temps jadis ou a Kaikoura on pouvait sûrement voir en même temps des centaines de baleines migrer de l’Antarctique vers des eaux plus chaudes et ou malheureusement elles étaient chassées pour leur graisse.

Il faut savoir que aujourd’hui, certains pays continuent de pratiquer la chasse à la baleine malgré les risques d’extinction et les interdictions de pêches internationales : Japon, Norvège…

Guilhem

Le site web de Whale Watch à Kaikoura

La chasse à la baleine est ouverte !

 

Au sonar, pas au harpon !

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Christchurch

Christchurch, l'interrogation après le seisme de 2011

 

Un saut à Christchurch pour constater l'étendue des dégâts du double tremblement de terre de 2010/2011 qui tua 186 personnes. Là où s'élevaient des bâtiments on trouve aujourd'hui des terrains vagues rectangulaires, parfois utilisés comme parkings. Une ville étalée mais parsemée ; 5 ans après, les travaux de reconstruction n'avancent pas vraiment, les esprits étant encore très marqués par les événements. La cathédrale elle-même pose un dilemme : la reconstruire ? Faire le deuil et en construire une nouvelle ?

Le temps passe, les prises de décision restent difficiles, et la ville se vide peu à peu de ses habitants, qui partent chercher du travail ailleurs.

Nolwenn

Le site web de Christchurch

Le street art prend le dessus sur le béton écorché

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Akaroa
Aoraki
Oamaru
Banks peininsula

Le grand bras de mer qui se glisse au coeur de la péninsule de Banks

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Akaroa, petit paradis isolé

 

Akaora est un petit village touristique planté au bout du bout de la route traversant la Banks Peninsula, cette péninsule immense, résidu d’une ancienne activité volcanique majeure (et oui il y a encore de l’activité et surtout des tremblement de terre) à l’est de Christchurch.

Résultat, lorsque l’on jette un oeil sur Google Map, on se rend bien compte de la forme de cratère de la région, et sur place, les reliefs prononcés et montagneux qui se jettent dans l’océan tranchent nettement avec la platitude des régions alentours.

Bon, la ville française est une belle arnaque à touristes qui permet à quelques restos de vendre plus cher des plats « français ». Pour le reste, l’architecture de l’époque coloniale française a entièrement disparu et a laissé place à une architecture anglicane tout à fait classique ; pas non plus de population française par ici !

Reste néanmoins ces paysages magnifiques que l’on a adoré découvrir sur la route ou en randonnée et qui valent vraiment le détour. On vous laisse profiter des photos.

Guilhem

Le site web d'Akaroa

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Le fabuleux decor d'aoraki / mont cook

 

Donc là on arrive simplement dans mon top 5, parmi les plus beaux paysages que j'ai pu voir de toute ma vie. Certes, aller jusqu'au Mont Cook, Aoraki en maori, représentait un sacré détour, étant donné qu'il faut quitter la côte et s'enfoncer dans la « Terre du Milieu » à la recherche d'une montagne... Que nous ne verrons même pas à cause du mauvais temps ! Mais parfois comme on dit, ce n'est pas la destination qui compte mais le chemin parcouru. Donc sur la route d'Aoraki il y a… Les lacs Pukaki et Tekapo. Comment vous dire.... Des eaux turquoises, des plages et des petites criques de galets gris, des arbres verdoyants, des herbes orangées ondulant sous le vent et des montagnes aux sommets enneigées en toile de fond. Je ne pense pas avoir un jour vu un mélange de couleurs aussi saisissantes. Quelques panneaux nous on appris que le bleu intense de l'eau est du au fait qu'elle provient directement des glaciers.

 

Quelques dizaines de kilomètres plus loin, nous voilà enfin au pied d'Aoraki. Bravant le froid et la pluie, on s'est engagés dans la « Hooker Valley Track », qui nous a guidés au milieu des rochers enneigés, et des rivières déchaînées pour finalement arriver sur un lac, et admirer un petit iceberg détaché du glacier avoisinant. On n'aura pas vu Aoraki, mais ses alentours resteront parmi mes plus beaux souvenirs de la Nouvelle-Zélande.

Nolwenn

Le site web du DOC dédié au Mont Cook National Park

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Le lac Pukaki,

couleurs au naturel

Un saut dans le temps à oamaru

 

Une petite ville qui nous aura bien plu pour son quartier « Steampunk » où l'on peut acheter des vêtements de style victorien, visiter des galeries d'art étonnantes, croiser des gens habillés comme au 19e siècle...

Et manger du FROMAGE ! Car on y trouve la réputée fabrique de « Whitestone » qui vend des fromages made in New-Zealand dans tout le pays. C'était sympa d'y goûter mais ça ne vaut pas nos bons vieux fromages français... Of course !

 

Steampunk : courant esthétique qui mélange les machines à vapeur, le style victorien, un brin de Jules Verne et un soupçon de futurisme... 

Nolwenn

Le site web du quartier Steampunk d'Oamaru

Le quartier

Steampunk d'Oamaru

Oamaru

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Vers l'Otago >> 

© La Girouette

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