La première chose qui nous est tombée dessus en arrivant à Bangkok c'est la chaleur. Finie la pluie taïwanaise, bonjour la sécheresse et les températures au-dessus des 30°C.

La seconde : les chauffeurs de tuk-tuks. Ah, les tuk-tuks ! A peine sortis de la gare que les chauffeurs de tuk-tuks nous sautent dessus, tenant absolument à nous emmener à notre hôtel, au Bouddha Couché, au restaurant, ou n'importe où pourvu qu'on ai besoin de leurs services. Au secours, moi qui déteste me faire aborder de la sorte (et ayant surtout peur de l'arnaque à la thaïlandaise qui consiste à : « ah mais non, là bas c'est pas bien/fermé/n'existe pas, par contre je vous emmène ailleurs, c’est beaucoup mieux ! » Et hop, commission), j’entraîne Guilhem dans ma fuite, m'efforçant de porter fièrement mon gros sac à dos malgré la chaleur écrasante et de prendre l'air de celle qui sait parfaitement où elle va et qui SURTOUT n'a besoin de l'aide de personne, et encore moins d'un tuk-tuk.

Ouf, on tombe sur une chouette dame d'un office de tourisme qui nous indique un bus municipal pour notre hôtel (bah oui parce qu'en vrai, je ne savais pas où j'allais hein!).

Et notre séjour en terre thaïlandaise pouvait commencer....